L'URUGUAY
Capitale: Montevideo 
Population: 3,4 millions (2005)
Langue officielle: espagnol 
L’Uruguay, petit pays : 176 215 km2, et 3,5 millions d'habitants. Cela ressemble à la France bien que dans les guides on l'appelle « la Suisse » de l’Amérique du Sud. Elle a une frontière avec l'Argentine et le Brésil. L'Uruguay fonctionne bien avec le tourisme, des liaison par bateaux avec l'Argentine très régulière et on trouve de la documentation en français dans les offices de tourisme.
J'y suis arrivé au début par Montevideo que je n'avais pas visité et revenu par Salto.
Salto est une grande ville de province, poste frontière avec l'Argentine. Pas de particularité si ce n'est une grande rue piétonne avec beaucoup de monde et de boutique. Je n'y reste pas car en plus étant venu en Uruguay pour retirer de l'argent rien ne fonctionne, il y a des queues devant les banques et même le distributeur de l'HSBC est vide.
Je file sur Paysandu et Montevideo. En route je m'arrête dans un camping qui est aussi une station Thermale. Les Thermes de Guaviyú. Dans cette partie du pays il y en a beaucoup, eau chaude, spa, relax, etc. Je profite juste des piscines extérieures et me promet de revenir plus tard pour mieux en profiter. Dans le nord du pays les thermes del Arapey ont l'air pas mal et cela ne relaxera avant de repasser en Argentine et le Brésil.
Paysandu plus grande ville de province, comme Salto n'a aussi rien de spéciale, mais j'y trouve enfin des distributeurs plein. Je commence à prendre aussi des dollars US.



http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amsudant/uruguaycarte.htm


Colonia Del Sacramento:
Prochaine étape Colonia del Sacramento, qui est une petite ville ayant un cœur historique mis en valeur. Je stationne en plein centre, seul … Elle est relié à Buenos Aires par une ligne de bateaux donc très touristique. La ville est classée Patrimoine de l'Humanité. Charmante remise en état, malgré un  temps couvert la visite est plaisante. Ancienne ville coloniale, clasée au patrimoine de l'humanité par l'UNESCO.
je stationne sur la place de la vieille ville, toujours seul comme camping-cariste....
Colonia c'est aussi la plage avec une rambla très longue.

Mais il m'a été difficile de trouver un restaurant le long. Encore moins un café pour une cerveza (bière).

Une rue du centre historique  :
 



mais ce n'est que des boutiques d'artisana ou des cafés-restaurants.
 

En dehors du centre historique la ville est faite de petites maisons comme celles-là, d'ailleurs

comme toutes les villes en dehors de la capitale et de Puenta del Este. Il n'y a pas encore beaucoup

d'immeuble.
 

Quelques vue de ce centro historico prise du phare.
 


C'est entouré d'une muraille dont il reste quelques bout, d'une portion de rue dallée de pierres datant de cette époque et de ces « petites maisons ancienne » qui lui ont donné son titre de patrimoine de l'Humanité.

L'église est simple comme ici en Uruguay, pas de déco ostentatoire comme au Brésil. Ce sont souvent les monuments qui accroche le plus le regard.
 



Prochaine destination : Rosario del Colla, fondée en 1775 ville qui a été le centre de la civilisation

dans la solitude la campagne de cette région. Selon le dépliant remis les habitants en 1994 ont peints

des fresques sur les murs montrant la culture et les activités de la ville. Je programme mon GPS qui

n’emmène sur une route non goudronnée, c'est parti.
 

La campagne uruguayenne.
 


Une estancia … il y en a des grandes mais elles sont dicrètes.

Rosarion del Colla, la place principale et l'église, la ville et les fresques sont ternes, les couleurs

passées....
 


j'ai bien vérifié les détails mais la plaquette est bien faite …. j'ai cru m’être trompé de

Rosario... Dommage ...

 

Montevideo:
 

Un peu de description pour touristes : Fondée en 1726 par les Espagnols, Montevideo est le capitale de l'Uruguay et la plus grande ville du pays. Elle domine de loin la vie culturelle, commerciale et économique de la nation ; C'est une cité moderne et très animée, avec quelques exemples architecturaux étonnants et intéressants, spécialement le long de l'avenida 18 de Julio. L'atmosphère est assez différente de celle des autres capitales sud-américaines. Cela peut être attribué partiellement à une population très mélangée, mais presque entièrement de souche européenne. Il ne reste que peu de bâtiments de style colonial, mais les autorités ont entrepris récemment de sauver les rares exemplaires survivants.

Ma première photo, rencontre avec mes collègues infirmiers uruguayens qui rejoignent un mouvement de grève plus bas dans l'avenue du 18 julio. Ils ne sont pas beaucoup mais plus bas, c'est la masse.

Il y a du bruit, tambours, feux d'artifice, discourt bruyant, etc ...

 

 

mais bon, je suis venu pour visiter la ville. Je suis garé sous les arbres,pardon les palmiers, au calme,
bien que le soir cela serve aussi de lieu de RDV en soirée .

 

 

C'est le long de la rambla, et comme à Bs-As, ici aussi tout le monde court, marche, patine, fait du vélo.
Il y a des emplacement aménagé avec des appareils de musculations... mais le lendemain il a fait
moins beau ...



 

une des nombreuses plages de Montevideo, il y a 17km aménagés, je les ai fait en vélo...

souvenir de plage


 

Un petit tour en ville avec quelques batiments qui vallent le coup d'oeil..










là c'est la ville en dehors des avenues marchandes et les HLM


un peu vieux mais en bord de mer ....



la mosquée, aussi en bord de mer, avec ses palmiers elle sort de son paysage ...



je verrais souvent des maisons comme celle là à collombages et parfois à toit de chaume, il y a eu une forte colonisation et il y a des quartiers référencé par pays, Allemagne, Suisse, etc...

LA RESISTANCE

Il y a aussi les maisons qui résistent à l'occupation, difficile de faire face lorsque les gros veulent la plus petite place pour grossir ....

     

voilà avec Malfada, qui a sa statue à Bs-As sur un banc, je quitte Montevideo pour suivre la côte, la Ruta de la Costa...

Las rutas de la costa – Uruguay.

Voilà maintenant la partie la plus visitée de l'Uruguay, la côte qui s'étant jusqu'au Brésil.

Comme c'est l'hiver peu de monde sur les routes, les villages retrouvent leur fonction de faire vivre les pécheurs, les touristes sont au soleil brésilien et je suis seul à voyager.

Première étape : Piriapolis, ensuite Punta del Este, Jose Iignacio, La Paloma, Punta del Diablo et le parc de Santa Teresa et enfin le parque de Cabo Polomio.
 

Piriapolis, petite ville qui s'étire le long de la plage. Mes premiers animaux marins le matin lors de ma ballade....   Il y a les vivants :
 

chercher les :
 

ceux qui dorment :
 

si il dors bien, il se lèvera lorsque je partirai...
lui il n'a pas bougé mais c'est celui d'en haut, lors de mon retour, il profite ....

 

Eux par contre ne bougerons plus …...
 

 

il y en plein d'autre ... la loi de la nature, seuls les plus forts survivent...
 

mais peut-être cela est-il du aux arrêtes de poissons …

mais le dernier est tout beau, il ne se laissera pas approcher …
 

Une demeure locale ….
 

 

il y a aussi beaucoup de maisons avec des toits en chaume .
 

Un des hôtels de Piriapolis, cela donne une idée de la densité en été ...

il est temps de partir....

Punta del Este …..

Piriapolis est une petite station balnéaire mais Punta Del Este se veut la station balnéaire, elle se

revendique comme étant la Nice de l'Amérique du Sud.... Mais bon, elle n'y arrivera pas …je n'en

retiens que deux photos ….
 

des immeubles clinquant, un casino, des magasins avec toutes les grandes marques mondiales mais pas de vie …
 

mêmes les sirènes sont désabusées ….

José Ignacio : rien de spécial, si ce n'est la possibilité de longer la côte en prenant un petit bac

gratuit, mais comme la mer est mauvaise, le bac ne prend pas les gros véhicules …

La Paloma. :

J'y arrive dans la soirée et en allant me garer dans le parkings de la plage je m'enlise dans le sable

qui s'est accumulé....... C'est l'hiver et il n'a pas encore de touriste donc rien n'est (ré)aménagé, à se souvenir ...  Deux bonne heures de travail avec l'aide d'un gars du coin qui passait à vélo.... j'utilise mes plaques de désensablage et apprends toutes les technique pour m'en sortir … je dormirai sur un parking en dur appartenant à la base militaire mais cela ne pose pas de problème.... Heureusement car le temps tourne à l'orage et il pleut toute la nuit …..

Punta del Diablo :

Un village de pêcheur qui grimpe dans le coeurs des riches qui font construire leurs maisons autour. Le village est toujours lui à l'âge de pierre, route non bitumé, petites maisons fragiles, pas de commodité, la richesse n'est pas encore distribuée. Le camping est fermé, je file sur le « Parque de la "forteresse Santa Teresa".

Santa Teresa :

Je suis seul …. il pleut toujours, ce parc est réputé pour ses animaux en liberté, ses oiseaux et sa

flore. J'en profite pour mettre à jours mes écritures, dommage qu'il n'y ait pas internet ….

Ha des animaux qui viennent me voir :
 

Le lendemain il fait beau, mais pas d'animaux, il y a un zoo mais j'attendrai pour les voir en liberté lors de mon voyage.

De charmants bungalow et petites maisons un peu partout le long de la plage, il y a les mêmes pour les gardes du parc.


la plage :

Il y a aussi la forteresse, mais en hiver c'est fermé le matin et je pars ....

Mais bon, je vais allez maintenant voir Cabo Polomio, c'est aussi un « parque » donc une zone

protégé, dont on accède uniquement en 4X4, de gros camions transformés pour les touristes. Nous

ne sommes que 3, deux autres français, dont lui est originaire de Gaillard, et depuis 7 ans il voyage avec son épouse. Ils ont tout vendu pour s'acheter un véhicule aménagé pour cela. C'est un monstre à côté de mon camping-car. Pas de photos car plus de piles …..

J'arrive à en prendre deux lors de la ballade:
 

Une pierre sculptée par la mer, ils y en a beaucoup d'autre avec des formes intéressantes ....

et une otarie à crinière, dont la principale « colonie » se trouve ici. C'est dommage car il y a pleins d'otaries et de pierres sculptées par la mer.


Et le site est intéressant en soi car le phare est entouré d'une multitude de petites maisons construite n'importe comment et un peu partout, il n'y a pas de route, de chemin, les propriétaires que nous rencontrons sont plutôt d
es jeunes qui essaie de vendre de l'artisanat : bijoux et autre.

 

Demain départ pour les Termas de Dayman juste avant de passer la frontière. Je resterai 4 jours en camping pour réaménager, ranger et profiter des thermes. Je profite du parking de Cabo Polomio pour la nuit car en plus il y a de l'internet...


La traversée du coeur de l’Uruguay …

En route pour la traversée de l’Uruguay. Je vais passer par les villes de Trienta Y Tres, Melo,

Tacuarembo et arriver à Salto, dernière ville frontière avant le retour en argentine. Je quitte donc les

routes les mieux aménagées, celles qui sont touristiques et vais faire 800km environ dans le vide

touristique.

J'aurai toutes les variables des routes locales et en même temps une bonne idées des fameux RIPIO,

routes non goudronnées, empierrées avec ornières, pierres assez grosses que je rencontrerai partout.

L'Uruguay si on ne quitte pas les routes touristiques est bien aménagée en route de bonne qualité,

l'intérieur est en « finition » mais bon il y a aussi des portions plus agréable.

Comme sur la photo du dessus, il y a de nombreux virage à angle droit et parfois en sommet de côte

et vraiment à angle droit. Dans la campagne (plus que sur les routes touristiques) les routes ont des

trous qui sont bouchés par du goudron mis en tas sur le trou sans être aplati et ce sont les véhicules

qui passe qui font le travail... il y a des portions longues où c'est plus pénible que de rouler sur les

routes non goudronnées. Paysage minérale ou il n'y a rien, de temps en temps une hacienda (petite)

ou un petit groupe de maisons et une école mais entre les villes que j'ai cité au début, rien, pas de

village.

Comme animaux, les vaches, les moutons, parfois des autruches et les oiseaux.

J'ai traversé un coin où sur tous les poteaux, les panneaux indicateurs il y avait des tas de boue bien

fait, bien rond, ce sont des nids d'oiseaux.
 

Je suis parti avec le plein et suis arrivé sur la réserve....

Arrivé à Salto et aux Termas de Dayam.

Toute la région bénéficie d'eau chaude et autour de Salto, frontière oblige, les Thermes sont plus

grand que celui du camping de Guaviyu où je m'étais arrêter au début. J'en profite pour ranger, nettoyer, faire la lessive..... J'ai pu trouver des sangles avec cliquet à Tacuarembo car celles qui tiennent les pneus sur le toit me me paraissent pas solide et surtout elles ont tendance à se relâcher sous l'effet des secousses lorsque je roule sur les RIPIOs. J'ai donc tout consolidé, mais je surveillerai de près car les effets du RIPIO sont terribles.

Aujourd'hui orage et pluie, j'irai quand même aux thermes et essaierai de voir s'il y a un coin avec

wi-fi qui m’accepterait avec l'ordi. Je profite des averses pour donner un coup sur l'extérieur du

camping car … l'aspirateur est un cadeau super...
 

Il y a plusieurs thermes, celui-ci c'est le municipal, à côté il y en a un qui s'intitule SPA, plus petit et

avec des cabines-douches à jets, de différents directions et force,un sauna et les piscines massantes.

Tout est plus petit, mais je préfère le SPA au thermes municipales car c'est plus dynamique, le

municipale c'est bien en famille car il y a de l'espace vert.
 

Une dernière avant la route ….

ce n'est pas moi …..

Demain retour en Argentine et direction les chutes …. si le GPS le veut ….


 
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